Si l'on en doutait encore, Beyoncé, maman de la petite Blue Ivy (1 an), absente du voyage, est la reine incontestée des dancefloors. Au cours de ces vacances idylliques, quoique sujettes à polémique, la superstar a en effet fait honneur au terme "bootylicious" (qu'elle a elle-même inventé avec ses ex-complices des Destiny's Child) et s'est laissé entraîner à quelques pas endiablés dans un club de La Havane. Embrassant l'esprit festif et chaleureux de l'île, Queen B, fraîche et stylée comme à son habitude, a prouvé qu'elle maîtrisait les codes de la salsa, dans une ambiance très électrique.
Électrique, c'est d'ailleurs le mot qui résume à la perfection la venue de l'un des couples les plus glamour et fortunés sur l'île de Cuba. Dès qu'ils ont posé le pied la semaine dernière sur les terres ensoleillées de Fidel Castro, les tourtereaux ont provoqué un sacré remue-ménage à chacun de leur passage, obligeant même, mercredi 5 avril, la police à intervenir pour contenir la foule de fans.
Mais au-delà de ces débordements, c'est une dimension politique qui est carrément venue s'ajouter au voyage du couple star. Car depuis 1962, un embargo économique empêche les citoyens américains de se rendre sur l'île et d'y dépenser de l'argent sans autorisation spéciale du gouvernement. Or, Beyoncé et Jay-Z ont été aperçus, mercredi 10 avril, en train de dîner à La Guardia, un restaurant de la capitale cubaine avant de se rendre au club Tropicana pour y admirer de sublimes danseuses, comme le montrent les photos publiées par le Daily Mail.
source: Yahoo.fr
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